Afin de corrompre l'humanité par l'appât du gain, Gilmarza orchestre une ruée vers l'or, ou plutôt vers une mine de diamant soi-disant apportés par des météorites. Une intrigue moralisatrice des plus simplistes à base de "la fièvre de l'or, c'est pas bien". Au passage, je n'ose imaginer la crise économique qui a dû se produire ensuite quand tous les diamants mis sur le marché et achetés à prix d'or se sont transformés en poussière.