Comme toutes les familles pauvres du pays, celle de Maïn endure l’hiver et ses rigueurs comme elle peut. La petite fille est mise à contribution pour les travaux domestiques, mais elle a d’autres idées en tête. Ayant échoué à tisser un genre de papyrus, elle provoque en revanche l’admiration de sa sœur et de sa mère par ses prouesses dans des domaines où elle est censée être ignorante. Tuuli et Eva commencent à se poser des questions…